Kajin avait suivit le parchemin, cependant dans la région ou l’avait envoyé l’ancien, le brouillard était si dense que l’on ne voyait pas à plus de 2metre devant soi. Même Kajin, pourtant habitué à ce brouillard ne put voir la cabane qui s’élevait à 5metres sur sa droite, elle passa plusieurs fois devant mais ne la vit pas.
_Tu va te décider à entrer ou tu va continuer à passer devant ma cabane ?
Une voix avait retentit, ferrailleuse, certainement d’un vieillard, il devait se trouver à 10metres sur la gauche, Kajin s’avançât, elle savait qu’elle
approché du but mais ne voulait pas laisser tombée sa garde. Arriver au
logement du vieil homme, elle le vu, il été très âgée, avec une canne et son dos courbé. Cependant, malgré la première impression, Kajin remarqua dans ses mouvement, de la certitude, et aussi une grande finesse, si c’était lui qui lui grefferai une arme, elle ne devait pas avoir peur, il e était apte, et peut être même plus que certains médecins ninjas se disant compétents.
Le logement du vieil homme était rudimentaire, un lit, une cuisine, une table et quelques meubles de rangement. Kajin sut tout de suite qu’un
potager devait se trouver non loin et que cet homme ne devait pas voir du monde souvent.
_Assis-toi, et raconte moi ton histoire, je veux savoir se qui te pousse à vouloir La greffe. Je pense que Hasaki t’as déjà dit les risques que tu prends, je ne vais donc pas te les redire ou en discuter.
Kajin fut surpris, maintenant qu’elle pouvait voir le vieil
homme sans devoir plisser les yeux, elle vu qu’il dégagé un charisme incroyable, et ses mots était tous pesait et voulait dire quelque chose. Tout chez cet homme inspiré la confiance, elle lui raconta donc pour ce qui la poussait à vouloir postuler pour la greffe, l’homme ne dit rien pendant sa tirade, il ne bougeât pas d’un pouce, seul les soulèvements de sa poitrine le différencié d’un mort. Lorsque Kajin eut fini sa dernière phrase, il la regarda dans les yeux, Kajin se sentit mal à l’aise, comme ci ce vieillard pouvait lire en elle.
_Bien, je vais t’infliger la greffe, cependant il y a plusieurs choses que je veux te faire savoir. La première est que tu ne choisis pas la nature de ta greffe, c’est la greffe qui te choisit, de plus après, tu pourras peut-être développer ta vue pour voir dans le noir ou dans le
brouillard, mais je n’ai connu qu’une personne capable de le faire, et c’est l’homme qui t’as conduis ici. La deuxième chose est que ce sera ma dernière greffe, je n’aurais plus assez de force pares celle-ci, il est même probable que je meure enfin. Ne discute pas, fait cette greffe, fait le pour toi et aussi pour l’homme qui souhaite enfin mourir qui est devant toi. Je vais maintenant me préparer,fait en de même, arme toi de courage, la douleur que tu va éprouver dans un premier temps sera ignoble, et a fait flancher des guerriers Ketsueki renommés. Rejoins-moi lorsque tu seras prête.
L’homme disparut derrière une armoire qu’il avait poussée, laissant voir un escalier en colimaçon.
Les paroles résonnées dans l’esprit de Kajin, il allait donc mourir âpres son œuvre ? Et de plus, les paroles du vieil homme ne se prenaient pas à la légère, s’il prévoyait des douleurs atroces, elle devait le croire et imaginer le pire. Elle prit ainsi 1heures pour prendre tout le courage qu’elle pouvait au fond d’elle-même. Elle prit enfin l’escalier derrière la commode. Le vieil homme l’attendait, il lui fit signe d’avancer, elle passa en première, puis soudain, elle tomba dans un trou, et s’évanouit sous l’impact de la chute. Au moment ou elle se réveillé, le vieil homme était la, il attendait. Il se leva au moment ou Kajin reprit connaissance.
_Tu ne peut pas bouger, cependant tu es consciente, la greffe s’effectue ainsi, tu dois sentir la douleur pour l’acquérir.
Kajin vu un scalpel brillait, puis une douleur intense, insoutenable, dans la brume des alentours de Kiri, le silence est perturbé par des cris de douleur, ou plutôt d’agonie d’une jeune femme, le vieil continu son œuvre.
Ce la fait maintenant 1 heures que Kajin ne cri plus, la douleur est toujours pareil, elle est toujours consciente. La douleur ne la fait plus crier, elle sent un liquide chaud et poisseux coulant sur ses bras, son sang. Elle est présente sans être la, son esprit et ailleurs. Le vieillard fatigue, mais continue, ce sera sa dernière œuvre, mais de loin la meilleure. Avant de finir il écrit un mot sur un bout de papier, son dernier. Il pleure de bonheur, il s’est surpassé, il est content, ferme les yeux, il ne les rouvrira jamais.
Il fallut un jour à Kajin pour se réveiller, elle s’étaitendormit au moment ou le vieil homme mourut. Elle se lève, la douleur dans ses poignets ne l’embête pas, elle voit alors le vieillard mort dans le fauteuil à coté du lit ou elle se trouve. Un mot est posé sur son ventre. Kajin le prend et le lit. Des larmes coulent, tombant sur les derniers mots du vieil homme.
Lun 27 Aoû - 13:56