Nom : Gin’gami (Papier d’argent)
Prénom : Aono
Age : 14 ans
Sexe : Féminin
Village caché : Suna
Histoire :
Depuis toujours la famille Gin’gami parfait son art pour l’origami. Cet art est il est appelé jiezhi, terme qui regroupe les techniques de pliage de papier et de papier découpé, où le découpage prédomine sur le pliage. L'origami a ses origines dans les cérémonies, dont ses ancêtre y participer un peu malgrès eux, où le papier ainsi plié permettait de décorer les tables.
Rien ne les prédestinaient à parter le nom de : papier d’argent.
Dans les temps anciens la famille possèdaient un moulin, rien de très luxueux, juste de quoi faire vivre ce petit monde convenablement. Au centre d’un champ de coton d’une taille suffisante pour fournir le moulin mais insuffisante pour attirer la convoitise. A coté d’une forêt généreuse où l’on trouvait des arbres à perte de vue, la devise de la famille était :
« Un arbre arraché, deux graines de plantées. »
Tous y mettaient du corps pour fabriquer du papier. Mélangeant soigneusement le coton préalablement trié aux copeaux de bois qu’ils laissaient macérer dans une substance dont seuls eux avaient le secret. Ils travaillaient d’arrache pied pour faire un papier de qualité, chose dur avec si peu de moyen. Pour eux valait mieux : « Deux papiers beaux et doux, que dix à s’essuyer les mains.» Malgré les saison de récoltes toujours trop courte, étant donné le soin avec lequel il travaillaient sur le papier, la famille avait du travaille pour toutes les saisons.
Leurs destins commencèrent à changer un long soir d’hiver. Pour les récompenser de leurs durs labeurs, le chef de famille donna l’autorisation de récupérer de papiers qui avaient une légère imperfection pour en faire ce qu’ils voulaient. Certains les découpèrent, d’autres écrivirent dessus, tant dis que les parents et la fille aînée commencèrent à les plier soigneusement à la plus grande stupéfaction des plus jeunes. Une telle agilité du bout des doigts les surprenaient. Dès lors ils décidèrent d’accorder un soir par semaine à l’origami. Un moment de détente et de bonne humeur bien mérité.
Un de ces fameux soir, où les mains habiles créaient, on frappa à la porte. Un vieux couple qui s’était fait surprendre par la tombée de la nuit et ignorant où ils se trouvaient. Par générosité, la famille leur offrit le gîte et le couvert. Ces vieilles personnes fut alors émerveiller par le spectacle que proposait la famille. Connaissant très peux la manipulation de cet art, ils examinèrent -entre des éclats de rire- les différentes formes et fut attiré par la qualité du papier.
Le vieille homme tenait un restaurant au centre ville tandis que ça femme recopiait des parchemins pour différentes institutions. C’est cette nuit là que leur destin bascula. Aussitôt l’homme fait une commande pour son établissement afin de faire écrire les menus. Si après, sa femme surenchérit, avec une commande conséquente pour le sien. La famille était aux anges, un client aussi important avait poussé la porte de leur moulin.
Dès lors, tout allait bien pour le moulin. Les réservations de papiers étaient fixes et augmentèrent même, mais par respect pour la famille, ils décidèrent de ne pas augmenter la charge de travail, ils améliorèrent simplement leur équipement sans rien changer à leurs habitudes.
Un jour d’été, un courrier mystérieux arriva. Celui-ci arrivé du chef d’un village caché, celui-ci demandé, non pas du papier, mais des origamis déjà plié pour décorer les tables des différents banquets organisés par celui-ci. Il avait eu ses coordonnées par le chef cuisinier qui n’était d’autre que son fidèle client.
La joie les envahit tous et commencèrent sans attendre le travail. Un vieux proverbe dix que si l’on fait 1000 origamis, un souhait se réalise, c’est pourquoi ils en firent autant. Pendant une semaine complète la moitié de la famille était au moulin tandis que l’autre partie était au pliage. Ils faisaient preuve de créativité et d’audace.
Une fois la commande terminée, les deux aînés allèrent la porter au village. Le Kage fût émerveillé, il n’arrêtait pas de dire qu’ils avaient l’air vivant, mieux que des scultures. Les convives dirent des choses aussi plaisante.
Le chef de village remit alors un courrier dans lequel se trouvait une autorisation d’entrée dans le village et ceci de façon permanente. Vint s’ajouter à ça une offre extrêmement généreuse : une échoppe dans le village.
Un rêve qui se réalise.
La moitié de la famille s’installa alors dans l’échoppe, où elle créait encore des origamis. De plus, elle y donner des cours dans l’art du pliage ainsi qu’un point de vente pour le papier.
Le Kage appela la boutique : Gin’gami (Papier d’argent).
Depuis l’ouverture, le niveau de vie de la famille s’améliora et l’affaire se transférait de génération en génération et le nom de la boutique devint leur nom.
Un enfant de la famille fit un changement de cap de devint ninja. Une situation un peu incongrue pour les plus âgés mais pas refusé par ceux-ci, tous devaient restés maîtres de leur destins. Il réussit à intégrer l’art de l’origami à l’art ninja. Il se mit à inventer des techniques avec l’aide de sa famille.
C’est pourquoi la famille Gin’gami devint le Clan Gin’gami.
Ces techniques s’améliorèrent et se peaufinèrent au fil des descendants.
Lorsque la dernière, Aono, annonça qu’elle préférait devenir ninja plutôt que de travailler à l’échoppe, celle-ci fut mise devant le livre secret des techniques du Clan avant d’être inscrite à l’académie.
Ses professeurs se souviennent encore d’elle, une fille souriante qui progressait extrêmement bien, mais si elle passait le plus clair de son temps à plier. Elle offrait souvent ses origamis aux plus démunis.
En dehors de l’école, elle étudiait sans relâche le parchemin de la famille ainsi que sa condition physique. L’endurance était son fort !