Adieu, Renaissance
Mon être sur les flots desséchés
Balayé d'un vent apaisé
Douces gouttes amères est meurtri
Maitre n'est pas à l'abrit
Essuyant son visage pâle
Ses traits félin de l'animal
Agonisait de ce vide
Met en jeu sa vie putride
Néante émotion humaine
Plus faim d'amour et de haine
De doux sentiments est meurti
Renaitre n'est pas un habrit
D'une lumière feu refroidissante
Sa peau criant d'être muette
Des mots et maux apparaissent
Avant que ses pommes on fouette
Cris d'étouffement et de peur
Souvenirs éffacés par l'eau
Environnement neuf, il pleur
Battements forts, confort et beau
Maitre, vous êtes enfin à l'habrit...
Par Moi !